Tout ce qui est sur Terre doit périr de Michel Bussi
Je suis arrivé au bout de cet énorme pavé de 764 pages écrit, tout d'abord, sous un pseudonyme.
Dans ce bouquin paru d'abord sous le titre de "La dernière licorne" , on ne retrouve pas le style habituel de Michel Bussi. Un autre genre qui n'est pas pour me déplaire.
Les chapitres sont courts, ce qui donne un rythme assez rapide à la lecture, mais ça ne permet pas de connaitre rapidement les nombreux personnages qui se côtoient dans le livre.
Michel Bussi emmène ses lecteurs un peu partout dans le monde : de Toulouse à la Turquie, en passant par l'Australie ou Hong Kong et les embarque même dans une autre époque : il y a 6000 ans en Mésopotamie.
Le but du voyage est le mont Ararat en Turquie en passant par un camp kurde.
Des mystères, des secrets cachés, l'Arche de Noé, les licornes, sont les ingrédients de ce roman hors du commun. Michel Bussi signale que tout est vrai dans ce bouquin. On nous cache donc bien des choses !
L'énorme puzzle que le héros de ce roman doit reconstituer permet de remonter à l'origine de toutes les religions du monde.
Mais pour y arriver, Zak Ikabi, accompagné de la glaciologue Cécile Serval, risquera sa vie plus d'une fois. Mais lui-même n'est-il pas plein de secrets?
Un livre dense, très difficile à résumer, qui a demandé des heures et des heures de recherches.
764 pages qui se dévorent finalement assez vite et qui me donne envie d'en savoir plus sur le peuple kurde...