Le mardi sur son 31
Un jour de congé et hop! on est déjà mardi. Le temps passe encore plus vite quand je suis en congé. C'était le dernier jour de congé avant ce qu'on appelle "les grandes vacances".
Je viens de commencer un livre que j'ai reçu pour mon anniversaire "L'instant présent" de Guillaume Musso (merci Mousse).
Un peu étrange, comme toujours avec Musso, mais j'ai adhéré à l'histoire dès les premiers mots.
La 4e de couverture n'a rien à voir avec ce que j'ai lu jusqu'à présent (je suis à la page 70).
Arthur Costello n'héritera pas de son père, à part un ancien phare rénové. S'il veut avoir cette "résidence", il doit promettre de ne pas abattre le mur qui cache une porte en fer. Evidemment, il suffit de lui dire ça pour qu'il ait envie d'ôter les briques, ce qu'il fait. Il perd ainsi un an de sa vie puisqu'il se réveille sans aucun souvenir de l'année écoulée...
A la page 31, on peut notamment lire :
- Si tu n'as pas perdu la raison, tu sais très bien que tout ça ne tient pas debout!
- Je cherche à te protéger!
Les mots avaient fusé. Intriguants, inattendus, teintés de sincérité.