Le mardi sur son 31
De temps en temps, je lis un roman des éditions Chloé des Lys puisque je publie chez eux. J'ai commencé "Mon amour à Pompéi" de Christian Eychloma.
Le début est compliqué et n'a rien à voir avec le titre. Ça parle de physique quantique et je m'y perds un peu même si l'auteur tente de simplifier l'histoire.
Un procès d'assises. L'accusé croule sous le poids de l'accusation, des témoins, des preuves matérielles et pourtant il clame son innocence et a l'air tout à fait sincère.
A la page 31, on trouve notamment :
"Je ne reviendrai pas sur les détails de l'affaire ni sur l'ensemble des éléments estimés à charge et que vous avez très longuement rappelés, monsieur l'avocat général. Je souhaiterais juste toutefois vous mettre solennellement en garde contre un faisceau de présomptions qui semblent si bien - trop bien - converger vers la culpabilité de l'accusé, et vous rappeler du même coup que les apparences sont bien souvent trompeuses..."