L'homme du lac d'Arnaldur Indridason
C'est le premier (et sans doute le dernier) livre que je lis de cet auteur islandais que je vois pas mal sur les blogs. J'ai arrêté ma lecture à la page 130 (il y en a 400).
Pourquoi? Parce que je n'ai pas adhéré à l'histoire? Non, même pas !
Tout d'abord, j'ai eu du mal avec les noms des personnages. Même si je ne lis pas à haute voix, ces noms ne résonnaient pas bien dans ma tête !
Et puis, j'ai trouvé tout ça bien compliqué et trop long. C'est un thriller, un meurtre a donc eu lieu et une enquête est ouverte, mais il s'agit aussi de l'histoire de l'Islande, de la guerre froide, des jeunesses socialistes, et ce n'est vraiment pas ma tasse de thé. J'ai donc abandonné après avoir attendu vainement quelque chose qui allait m'accrocher à ce récit.
Je ne dirai pas que c'est un mauvais livre, qu'il est mal écrit, que l'histoire est inintéressante,... Je dirai simplement que ce n'est pas un livre pour moi. Et si l'auteur profite de ses thrillers pour parler de l'histoire de l'Islande ou de la société islandaise, je le laisse à ceux que ça intéresse.
L'histoire en quelques mots :
Le niveau d'eau d'un lac (le Kleiffarvatn ! ça commence bien !) a baissé laissant apparaitre le squelette d'un homme attaché à un émetteur radio portant des inscriptions cyrilliques. Le commissaire Erlendur va donc s'intéresser aux disparitions inexpliquées des années 60, ce qui conduit l'enquête vers les ambassades de l'ex-bloc communiste et les étudiants islandais boursiers des jeunesses socialistes en Allemagne de l'Est, pendant la guerre froide...
Livre lu abandonné dans le cadre de mon challenge Lire sous la contrainte (Je sais, je suis en retard ! ).