Le mardi sur son 31
En ce mardi, je continue un roman commencé dans le cadre de mon challenge "Lire sous la contrainte". C'est un pavé de 545 pages en petits caractères. Je n'ai donc pas eu fini dans les temps !
Il s'agit encore d'un titre de John Grisham que j'apprécie : "L'allée du sycomore".
Le thème est simple : Un homme se suicide en laissant une fortune à ... sa femme de ménage noire. Ses enfants et petits-enfants, tous déshérités, vont contester le testament écrit à la dernière minute. Ils considèrent que leur père et grand-père n'était plus en état de rédiger ce texte.
Les avocats, de véritables requins, se jettent dans l'arène. Que ne ferait-on pas pour de l'argent?
A la page 31, on trouve une lettre adressée à l'avocat qui devra se charger de l'affaire :
"Vous trouverez ci-joint mes dernières volontés et mon testament. J'en ai écrit chaque mot et ils sont signés et datés de ma main. J'ai consulté la réglementation au Mississippi et j'ai constaté avec satisfaction qu'un testament "olographe", pour reprendre le terme juridique, est parfaitement légal et applicable. Il y a un an, j'ai signé une version plus longue au cabinet Rush de Tupelo, mais je dénonce aujourd'hui ce testament..."