J'ai découvert Patrick Cauvin avec "E=MC2 mon amour", livre que j'ai adoré à l'époque. Je l'ai relu une dizaine d'années plus tard et il m'a moins enchanté. A ce moment, j'ai lu la suite "Pythagore, je t'adore" que j'ai bien aimé.
En tout, j'ai lu 17 livres de cet auteur. J'en ai adoré quelques-uns comme "L'amour aveugle" ou "Théâtre dans la nuit", certains ne m'ont pas plu comme "Laura Brams" ou "Nous allions vers les beaux jours".
J'ai commencé dimanche et abandonné hier "Villa Vanille". Comme à chaque fois que je n'arrive pas à entrer dans un livre, j'en ai lu cent pages. Je me suis embrouillé avec les personnages, j'ai trouvé l'histoire un peu compliquée et, comme je ne manque pas de livres, j'ai décidé d'arrêter la lecture de celui-ci. C'est d'ailleurs le troisième livre de Patrick Cauvin que j'abandonne après "8 jours en été" et "Nous allions vers les beaux jours".
"Villa Vanille se passe en 1947. Alors que la guerre n'a pas vraiment touché les Malgaches, voici que l'ile se révolte contre les colons. Je ne connais rien à l'histoire de Madagascar, ce qui m'a peut-être empêché d'entrer dans le roman.
La 4e de couverture annonce un "Autant en emporte le vent" des colonies françaises. Comme je n'ai pas aimé ce film, il y avait peu de chance que j'accroche à ce récit.
A la page 31, on trouve notamment :
"Deux ans auparavant, un orchestre était venu à la Villa Vanille trente-cinq musiciens pour l'anniversaire de la fondation de la plantation. Les hommes des rizières avaient été embauchés pour installer les tentes et les kiosques dans le jardin..."
Livre lu commencé dans le cadre de mon challenge "Lire sous la contrainte". Nouvelle contrainte : pas de déterminant devant le nom.