
Ouf! me voilà au bout de ce pavé! 670 pages, c'est long, surtout quand l'ensemble du récit est un vaste interrogatoire.
Un double meurtre et une enquête qui s'étend jusqu'au bout du récit. Normal, me direz-vous. L'assassin est toujours révélé à la fin des romans noirs. Oui, mais ici, l'enquêteur interroge les proches d'un des morts pendant tout le récit. Ce n'est pas inintéressant mais il n'y a pas de rebondissements, pas de véritable suspense.
Sir Paul Berowne, aristocrate et homme politique, a soudain envie de changer de...
[Lire la suite]