Oriane ou la cinquième couleur de Paul-Loup Sulitzer
Le mot du mois chez Aperto est "couleur". En fouillant dans ma bibliothèque, j'ai trouvé ce roman qui m'attend depuis des années. Je suppose qu'il appartient à ma soeur car je n'achète pas ce genre de livre. C'était le moment de l'ouvrir tout en ayant un doute sur son intérêt.
Je l'ai arrêté. Comme chaque fois qu'un livre ne me plait pas, je me force à aller jusqu'à la page 100. Une fois arrivé là, s'il ne me plait toujours pas, je l'abandonne sans regrets. Je dois dire qu'ici j'ai hésité un peu avant de m'arrêter car l'intrigue n'est pas mal du tout. Seulement je ne comprends pas tout ce que je lis et ça m'énerve. Je n'y connais rien en finances ni en politique et encore moins en corruption. J'ai donc eu du mal à m'y retrouver dans l'histoire.
Oriane est juge dans la Galerie financière. Alors qu'elle sort de son bureau, une femme est assassinée devant ses yeux. Cette femme est une amie à elle et l'épouse d'un magistrat qui s'est soi-disant suicidé quelques jours auparavant. Oriane ne s'occupe pas de ce genre d'affaire pourtant elle veut faire la lumière sur ces morts successives d'autant plus que le fils de ses amis vient lui demander de l'aide.
Je n'en sais pas plus. J'aurais bien voulu savoir le fin mot de l'histoire (surtout que la fin est inattendue, parait-il) mais le monde politco-financier n'est pas ma tasse de thé.
Je n'ai rien à reprocher à ce bouquin. C'est moi qui n'ai pas accroché par manque de connaissances dans le domaine cité.
Un livre lu sorti de la bibliothèque pour le challenge Un mot, des titres.