J'ai raté notre rendez-vous mardi dernier. J'étais sous le soleil de la Méditerranée.
Je reviens aujourd'hui avec un extrait de "La ligne noire" de Jean-Christophe Grangé, un livre qui patientait dans ma bibliothèque depuis très longtemps.
"A cette seconde, le dégoût explosa dans sa gorge. Aucun doute : il était bien une pure ordure."
A cette époque, le héros était paparazzi. C'est le moment de la mort de lady Di, décédée à cause des paparazzis qui la poursuivaient. Les journalistes ont atteint le fond. Trop, c'est trop. Il est temps pour lui de changer d'orientation...
Je reviendrai le moment venu, mais je ne garde pas un bon souvenir de ce Grangé.