Le mardi sur son 31
En ce mardi, je commence un roman d'Olivier Merle intitulé "Noir négoce" ou le commerce du bois d'ébène ou plus familièrement la traite des noirs au XVIIIeS.
Le narrateur et héros de l'histoire ne sait pas du tout ce qui l'attend quand il embarque au port du Havre pour son premier voyage.
A la page 31, on ne parle pas encore de cet ignoble commerce. Les premières pages expliquent surtout (trop) les rudiments de la navigation.
"Dans sa cabine, fort petite en vérité, le capitaine Fortin était assis à une table de travail coincée entre la couchette et la paroi opposée. C'était un homme à la mâle apparence, d'une quarantaine d'années, la tête forte et carrée, le regard clair, les mains puissantes, et bien qu'il se tint assis face à moi, je l'imaginai grand et massif."
Premières rencontres du héros avec les membres de l'équipage.