Voilà, il me restait un Musso à lire, c'est fait ("7 ans après" n'est pas encore sorti en poche). C'est une amie qui m'a offert le chainon manquant de la série Musso. Merci Mousse.
Je me demande pourquoi il est autant critiqué. Il ne fait sans doute pas bon être populaire. Moi j'aime et je n'ai pas peur de le dire.
"Que serais-je sans toi?" est un roman que je diviserai en 3 parties :
1. Elle habite San Francisco. Il habite Paris. Ils sont jeunes et se rencontrent car il est allé aux Etats-Unis pour perfectionner son anglais. Ils s'aiment. Rien de plus classique! Ils se quittent, promettent de s'écrire, les courriers s'espacent... On connait!
Les années passent. 13 ans sans se revoir. Un rendez-vous manqué mais on ne s'oublie pas.
2. Archibald est un voleur, un voleur de tableaux, de bijoux, d'oeuvres d'art, traqué par la police depuis de nombreuses années. Martin (le "il" du début) est devenu policier et c'est lui qui traque le plus grand des voleurs parisiens. Il ne vit plus que pour ça : arrêter celui qui le défie depuis si longtemps.
Aucun lien avec le début du livre jusqu'au moment où ... au milieu du livre ... où on apprend qu'Archibald est le père de Gabrielle (la "elle" du début). Là, c'est déjà moins banal mais je ne peux pas trop vous en dire.
Archibald s'envole vers les Etats-Unis, Martin le suit et les retrouvailles sont inévitables. L'amour n'est pas mort mais compliqué, Gabrielle aime les deux hommes et ne pourra pas choisir entre les deux...
Elle n'aura finalement pas à choisir puisque ...
3. Les deux hommes se retrouvent dans le coma et nous changeons à nouveau d'histoire. Dans le coma, c'est un autre monde, un monde où on attend le train qui nous conduira vers une des deux destinations possibles : la vie ou la mort!
Gabrielle pourra-t-elle garder ses deux hommes ou les perdra-t-elle tous les deux? Le destin n'est-il pas en train de lui jouer un tour?
Allez, je vous en ai déjà trop dit. Si vous voulez gouter du Musso, pourquoi ne pas lire celui-ci?
Ce cadeau tombait à pic puisque le titre est une phrase interrogative et m'a donc permis de participer une seconde fois à mon challenge "Lire sous la contrainte".
.
